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Acteurs

Pour

Hôpitaux de Paris

L'Assistance Publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (acteur actif, fort et pour)  qui a un lien direct avec les patients et les constructeurs, selon lui les robots coûtent chers mais les bénéfices pour les patients sont énormes.

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Patients

Des patients, de type consommateurs et  malades, ils sont actifs et ont un poids fort. Ils sont liés aux chirurgiens et aux personnels des hôpitaux qui s’occupent d’eux. Selon la majorité des patients pour, les robots réduisent les temps d’hospitalisations, et permettent une chirurgie moins invasive.

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Intuitive Surgical

Les constructeurs de Intuitive Surgical, sont des acteurs actifs avec un poids fort. Ils ont un lien avec les hôpitaux car ils créent les robots chirurgicaux pour les hôpitaux.

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Fabrice Romano

Fabrice Romano, le Fondateur des startups Keranova, EyeTechCare et Medtech Gate. Selon lui le chirurgien va “un jour poser définitivement son bistouri”. De plus, pour lui les robots possèdent une grande puissance et plus de précision, nécessaires à l’amélioration des résultats cliniques. Grâce à cette amélioration, le patient va en tirer beaucoup de bénéfices. Cependant, le chirurgien devra être polyvalent, il devra avoir de nouvelles compétences telles que l’informatique et la robotique mais il ne devra pour autant pas oublier les gestes de base de la chirurgie.

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Janson Gassia

Janson Gassia, Directeur Général de l’Hôpital privé de la Loire. L'hôpital privé de la Loire est l’un des premiers à avoir eu un robot chirurgical en France. Janson Gassia est fier que son hôpital soit l’un des premiers équipé d’un robot. Selon lui, le robot offre aux patients de meilleures prises en charges.

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Georges Fournier

Georges Fournier du CHRU de Brest. Pour lui, l’arrivée de ce type de robot (Da Vinci) marque une vraie rupture. En effet, il augmente le confort du chirurgien, réduit son impatience et augmente sa précision. Mais également parce que les chirurgiens et le personnel ne sont plus en contact avec le patient : seul le robot l’est. Il intervient entre 100 et 150 fois par ans depuis 4 ans, de 2 à 3 fois par semaine. Pour lui le patient n’est pas livré au robot, puisque c’est le chirurgien qui va opérer.

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Professeur Christophe Jayle

Professeur Christophe Jayle. Il était d’abord sceptique, mais a vite fini par adopter ce robot qu’il préfère appeler “bras mécanisé”. Pour lui c’est une vraie avancée, lorsque ses premiers patients lui ont fait un retour, ils exprimaient une diminution de la douleur et une augmentation du confort. Ce robot est aussi très utilisé pour l’opération de personne âgées qui sont plus fragiles et est donc un avantage considérable pour le bien-être du patient.

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Contre

Des patients

Des patients, de type consommateur et malade.  Ils sont liés aux chirurgiens et aux personnels des hôpitaux qui s’occupent d’eux.  Ils ne sont pas rassurés par le fait que ce ne soit plus les chirurgiens qui les “touchent”. Ils ne veulent pas non plus confier leur santé à de simples robots. Il y a là un problème de confiance dans les machines car il peut y avoir des problèmes techniques qui annuleraient les effets positifs de ces robots.

Accueil Infirmière examen des patients

Professeur Michaël Peyromaure

Un chef du service d’urologie de Cochain (actif fort). Le Professeur Michaël Peyromaure a un lien avec les patients et les constructeurs et est contre ces robots médicaux.

Marty Makary

Marty Makary (actif fort) qui est un chirurgien américain. Il a lui aussi un lien avec les patients et les constructeurs.

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Patients morts

Les patients morts qui étaient de type malades. Liens avec les chirurgiens qui utilisent les robots. Ces patients sont morts suites à des complications de chirurgies robotisées.

Neutre

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Inserm

L’Inserm qui est un organisme public de recherche français entièrement dédié à la santé humaine. Il possède une chaîne Youtube sur laquelle il explique plusieurs informations sur différents sujets tel que les robots dans la médecine.

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Martin Marshall

Martin Marshall qui est le vice président du Royal College of General Practitioners. Selon lui, on ne pourra jamais remplacer entièrement le chirurgien par un robot, il y aura toujours un homme derrière. Le robot est là seulement pour assister, aider l’homme mais il n’est en aucun cas là pour le remplacer.

Olivier Goury

Olivier Goury, chercheur en soft robotique (robotique molle) au laboratoire DEFROST, pour lui, les robots mous peuvent facilement se faufiler et rentrer en contact avec les tissus et même s’aider des tissus pour rejoindre d’autres zones du corps et donc d’opérer avec moins de danger pour les patients. De plus, un robot rigide doit éviter de rentrer en contact avec les tissus du corps parce que cela peut les endommager. Mais cet avantage a aussi un inconvénient. Etant donné qu’il y a un grand nombre de libertés, contrôler les robots mous est un challenge bien plus gros que dans le cadre des robots rigides.

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